226/366. Aujourd’hui, comme ça et pas autrement…

 

Depuis que j’habite ici, j’ai toujours connu cette très belle fougère, coincé dans les marches de l’escalier du jardin. J’aurais voulu faire un mur végétal que je n’aurais pas réussi à faire aussi bien. Je la laisse vivre, sans intervenir. Chaque année, quand vient l’automne, elle dépérit jusqu’à disparaître totalement, et chaque fois je me dis que ce coup-ci, c’est fini…

Je ne sais pas comment elle est arrivée là, loin de ces congénères, mais elle revient toujours, et c’est très bien.

 

Il y a neuf ans, sans intérêt, on causait « Chic, des clics »…

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