En ce moment, on cumule les moments d’incertitudes sur des sujets sur lesquels on n’a aucune prise, de ceux où le mieux c’est de lâcher prise ; sauf que ça, c’est plus facile à dire qu’à faire !

 

Le meilleur exemple, c’est Parcour’Sup ! Alors voilà, à la date fatidique, tous les vœux ont été remplis, tu as cliqué sur  « envoyer », et roule jeunesse, tu n’as plus maîtrise de rien jusqu’au résultat final ; la semaine prochaine si tout va bien, mais l’attente peut durer jusqu’en juillet !

Et donc, difficile de prévoir l’été, du moins juillet ! Si la Merveille est prise, comme elle le souhaite maintenant, à la Sorbonne, tout roule, le logement est déjà géré, pour le reste on verra à la rentrée, à nous la Bretagne. Par contre, si c’est Montpelier, il va falloir y aller fissa, pour trouver un logement, éventuellement le meubler, et plein de conneries du genre !

(et là, je ne parle pas des plans C, D et E qui nous amènent au choix à Dijon, Bordeaux ou Nantes !).

Bref on croise les doigts pour que ce soit Paris…

 

Et puis, il y a aussi incertitude sur mon avenir professionnel, renouvellement de marché oblige. Soit rien ne bouge, soit je change de boîte mais restes au même endroit, soit… Ben j’irais redécouvrir les bonheurs de France Emploi en Bretonnie, mais cette fois en tant que sénior ! Résultat des courses dans quelques semaines…

 

Bref, en ce moment, la seule certitude, c’est que rien n’est jamais certain, mais que bon, on voudrait bien savoir !