Hier, chez le frangin, dans une panière de vieux papiers épars sauvé de l’ancienne maison, entre vielles photos et lettres pour la plupart sans intérêt, une de ces cartes de vœux personnalisés comme on en faisait alors quand SMS, Mail et billet vite fait sur des réseaux sociaux n’existaient pas encore.

Ce tonton aéronaute, homme un peu bizarre aux yeux du péquin moyen, était un habitué de la chose et chaque année, l’on attendait sa carte avec curiosité ; mais je vous avais déjà parlé de lui dans ce billet

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